D’un bleu zébré de traînées étranges, le ciel se couvre peu à peu de cirrus duveteux bien élevés qui laissent gentiment une place au soleil pour qu’il envoie ses derniers rayons sur les cimes. Elles deviennent dorées puis rouge… La voûte céleste se colore de rose, rouge, mauve, …
De précipitation, je manque plus d’une fois de glisser dans le torrent. Tout transpire d’une beauté incroyable, sublime ; divine. Obnubilée par la restitution imagée de ce ressenti fantasmatique, je tente nombre de prises de vue sans réussir à m’arracher à cet état de fascination transcendantale qui me dépasse complètement.
Je dégouline de gratitude envers Gaïa, la Terre, la Nature, Patchamama, l’Univers et tout le reste, capables d’offrir pareil spectacle, et sans rien demander en retour. Comment ai-je pu mériter ça ? Jusqu’à ce que l’incendie du ciel s’éteigne, je reste face à la scène, scotchée.
De précipitation, je manque plus d’une fois de glisser dans le torrent. Tout transpire d’une beauté incroyable, sublime ; divine. Obnubilée par la restitution imagée de ce ressenti fantasmatique, je tente nombre de prises de vue sans réussir à m’arracher à cet état de fascination transcendantale qui me dépasse complètement.
Je dégouline de gratitude envers Gaïa, la Terre, la Nature, Patchamama, l’Univers et tout le reste, capables d’offrir pareil spectacle, et sans rien demander en retour. Comment ai-je pu mériter ça ? Jusqu’à ce que l’incendie du ciel s’éteigne, je reste face à la scène, scotchée.
Copyright : Ambre de l’AlPe
« J’ai regardé les ciels s’ouvrir et panser leurs déchirures. Personne n’assiste au spectacle de la steppe. Elle le joue pour elle seule. Ce gâchis me ravit. »
Sylvain Tesson
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